Wikipedia donne la définition suivante du terme :
“Le mentorat désigne une relation interpersonnelle de soutien, une relation d’aide, d’échanges et d’apprentissage, dans laquelle une personne d’expérience, le mentor, offre sa sagesse acquise et son expertise dans le but de favoriser le développement d’une autre personne, le mentoré, qui a des compétences ou des connaissances à acquérir et des objectifs (professionnels) à atteindre“.
Le terme est par ailleurs recommandé en France par la DGLFLF à la place de l’anglicisme coaching mais uniquement lorsque cela concerne l’activité d’un « cadre chargé d’améliorer les compétences et la réussite professionnelle d’un individu ou d’une équipe ».
Sa spécificité : “le mentorat vise l’accompagnement d’une personne dans la mobilisation de ses ressources, la recherche et la mise en application de ses solutions propres, et le développement de l’autonomie de la personne, y compris vis-à-vis du mentor. Cette stimulation de l’endo-gène constitue la spécificité de la démarche de mentorat”.
Autonomie – autonomisation – responsabilisation, co-création énactive, apprentissage et co(n)-naissance, voilà des valeurs et des traits de mon fonctionnement qui résument bien ma façon d’accompagner. Par ailleurs, j’estime que les protagonistes -vous et moi – sont à la fois mentors et mentorés et que l’Enseignement se révèle dans la Rencontre.
C’est pourquoi j’ai choisi d’adopter ce terme “mentorat” pour éclairer le type d’accompagnement que je propose et les services que je mets à disposition des individus aussi bien que des entreprises, des équipes ou des compagnies.
Par ailleurs, dans ce terme de mentorat, la rigueur est implicitement exprimée mais bien présente.
Entendons la rigueur comme ne pas rester dans son ignorance et “ne pas laisser l’autre dans son ignorance” (Lucas Ciavatta), c’est-à-dire donner les moyens de sortir des auto-limitations et de l’illusion du croire savoir…
Le savoir n’est pas la connaissance. La connaissance est issue de l’expérience vécue et intégrée en conscience.